Une exploration mémorable du parc national sénégalais du NiokoloKoba

Une exploration mémorable du parc national sénégalais du NiokoloKoba

Niché au cœur de la région de Tambacounda, dans le Sénégal oriental, le parc national du NiokoloKoba constitue la plus vaste réserve animalière du pays. Son nom lui vient du cours d’eau NiokoloKoba qui est un affluent du fleuve Gambie. En 1926, cette zone était un territoire de chasse. Puis, elle s’est transformée en forêt classée vers 1951. Cet éden ne fut officiellement classé de parc national qu’en 1954 et s’étend sur près de 900 000 ha.

En 1981, cette aire préservée fut intégrée au patrimoine mondial de l’UNESCO et au Réseau mondial des réserves de biosphères. Par ailleurs, suite à un programme de regroupement avec le parc national du Badiar, en Guinée, l’ensemble de ces 2 domaines fut alors dénommé « complexe écologique de Niokolo-Badiar ». À noter qu’entre temps , les animaux de cet espace protégé ont été victimes de braconnages importants. Ainsi, l’UNESCO a classé ce refuge parmi les patrimoines mondiaux en péril.

Les animaux et les végétaux de la réserve


Le parc national du NiokoloKoba constitue un véritable havre de paix pour divers animaux comme les lions, les léopards, les lycaons, les singes verts, les bubales, les hippopotames, les buffles et bien d’autres encore. Les touristes y apercevront également des varans, 3 espèces de crocodiles, dont celui du Nil, ainsi que 4 sortes de tortues. Par ailleurs, du haut de ses 311 m de haut, le mont Assirik forme le point culminant du parc. Les derniers éléphants et élands de Derby (plus grandes antilopes au monde) du pays se réfugient aux environs de cette montagne. À part cela, les passionnés d’ornithologie seront certainement ravis en essayant de répertorier les 330 espèces d’oiseaux de ce sanctuaire pendant leur voyage Afrique. En outre, les amoureux de la nature se plairont sûrement dans le parc national du NiokoloKoba grâce à son décor varié composé de 1 500 espèces végétales, dont les baobabs géants et les forêts de ripicoles.

Comment visiter le parc ?

parc national du NiokoloKoba

D’abord, il faut savoir que le parc national du NiokoloKoba accueille plus de 5 000 visiteurs par année et reste ouvert en toute saison. Toutefois, la période sèche, c’est-à-dire de décembre à mai, demeure la plus opportune pour réaliser un circuit dans cette réserve. En effet, en saison de pluies, certaines parties des plaines deviennent marécageuses. Ensuite, il n’est pas recommandé aux explorateurs de se balader à pied dans ce sanctuaire ni d’y effectuer un safari de nuit. Il serait plutôt préférable de voyager en 4×4 et avec l’assistance d’un guide expérimenté. À noter que la limite de vitesse s’élève à 30 km/h.

Par ailleurs, des observatoires sont également éparpillés ici et là pour que les aventuriers puissent apercevoir les animaux en toute sécurité. En outre, afin d’apprécier tous les aspects de ce refuge, le mieux serait d’y séjourner durant 3 jours. Pour cela, le parc national du NiokoloKoba compte un hôtel et divers campements. Pour découvrir de nouveaux paysages en Afrique, le bourlingueur peut continuer leur aventure par un safari Tanzanie, voyage inoubliable.

Quelle nourriture en Tanzanie

La nourriture est essentielle à la survie et fait partie intégrante de la culture. Les choix alimentaires sont influencés par la géographie, la culture et le revenu. Il existe de nombreuses façons de fournir de la nourriture à une population, y compris la production, le commerce et la conservation. La production comprend l’élevage du bétail et la culture des cultures. Le commerce, c’est quand différents moyens de fournir de la nourriture sont partagés entre différents pays. La Tanzanie possède de nombreuses ressources qui contribuent à leur capacité à maintenir une alimentation saine.
La Tanzanie abrite de nombreuses cultures et produits d’origine animale qui sont utilisés dans les aliments. Le mahoma du Malawi, un type de gnou, est un mets délicat dans plusieurs régions de Tanzanie. Cet animal est abattu et consommé comme viande ou utilisé dans la préparation d’autres aliments tels que les currys. Les Massaïs du Kenya utilisent le sang de leur bétail pour cuisiner du boudin, connu sous le nom de biltong. Ils utilisent également la graisse et la peau du bétail pour fabriquer des savons traditionnels et des produits pour la peau. Les peaux des animaux sont utilisées pour créer des vêtements et des sacs pour stocker le grain.

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